Akimiti

Commentaires

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  1. C est vraiment superbe autant le texte que l’aquarelle…..biz

    Commentaire par Flocréa — 29 août 2010 à 16 h 46 min

  2. Très beau moment passé en compagnie d’Emma Shaplin, de Victor Hugo…et de ta jolie aquarelle!

    Juste une petite question, afin de pouvoir “profiter” (le vilain mot!) pleinement de tes peintures/aquarelles, ne pourrait-on pas en cliquant sur l’image la voir en plus grand?

    Merci et bonne soirée!

    Lippia

    Commentaire par Lippia — 29 août 2010 à 20 h 17 min

  3. Merci a vous deux !

    Je vais voir pour les tableaux. Peut-être faire une galerie que j’alimenterai au fil des articles.

    Commentaire par Irène — 29 août 2010 à 21 h 23 min

  4. J’aime beaucoup beaucoup cette aquarelle Irène. Félicitations.

    Commentaire par catherine — 30 août 2010 à 5 h 16 min

  5. J’ai lu ce beau poème assise sous l’ombre bienveillante du pommier
    et j’ai ressenti la générosité du texte et de ton aquarelle

    Commentaire par mlk — 30 août 2010 à 11 h 52 min

  6. J’adore l’histoire de Ruth!! Si pleine de l’essentielle ^^…encore et toujours la Bible hein ;)
    Magnifique poème, magnifique aquarelle!!!
    Voilà, le temps s’est arrêté pour moi, un momet de grâce, grâce à toi.

    Merci douce Irène! (oui une galerie,c’est OBLIGé, tu n’as plus le choix)

    Commentaire par Nandini - Ahelya — 30 août 2010 à 12 h 13 min

  7. Ce poème m’a toujours … fait rire car mon père le citait en exemple quand j’étais petite comme un tour de passe passe avec l’histoire.

    Jerimadeth n’existe pas, c’est une pure invention d’Hugo. Mon père le traduisait ainsi:”j’ai rime à d” “(Hugo ayant voulu donner une rime riche en écho à à “demandait” )

    Commentaire par venezia — 30 août 2010 à 17 h 15 min

  8. Catherine, mlk, Nandini, merci de la visite !

    Bien sûr, je vais organiser une galerie …

    Venezia, mon père citait toujours deux vers de ce poème, avec une certaine ironie mais toujours bien à propos
    :
    “L’ombre était nuptiale, auguste et solennelle”, et
    “C’était l’heure tranquille où les lions vont boire”.

    J’aime le souffle des poésies de Victor Hugo, c’est vrai, et je lui pardonne cette invention qui t’a, également, rappelé ton père !

    Commentaire par Irène — 30 août 2010 à 19 h 01 min

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